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Livre 1 |
Ligne bleue (La)
Résumé
Buenos-Aires, années 1970. Julia, une jeune Argentine, a hérité de sa grand-mère un don précieux. De façon imprévisible, des scènes de l’avenir lui apparaissent à travers le regard de quelqu’un d’autre. À charge pour elle d’interpréter sa vision, et d’intervenir si elle le peut pour empêcher des événements malheureux. L’histoire de Julia se déroule dans une période troublée de l’histoire argentine. Le retour de Perón, en 1973, s’effectue dans des conditions très mouvementées. Le vieux dirigeant s’aliène une partie de son soutien populaire en fermant les yeux sur le massacre de l’aéroport d’Ezeiza, lorsque l’armée tire sur la foule d’étudiants venue acclamer son retour. Un peu plus tard, la mort du leader va laisser le pays dans un état de grande agitation. Isabel Perón et son âme damnée Jose Lopez Rega (« El Brujo », « Le Sorcier ») veulent anéantir le péronisme de gauche ; des escadrons de la mort, les fameux AAA, éliminent les opposants. Les Montoneros s’organisent dans une résistance bientôt clandestine. Julia et son compagnon, Tim, s’impliquent dans le mouvement au contact d’un curé charismatique, le père Mugica û personnage qui a réellement existé û, précurseur de la théologie de la libération. Julia, Tim et leurs camarades vont connaître l’enfer des centres de torture, beaucoup disparaîtront. À la fin de la dictature, Julia tentera pendant des années de retrouver la trace de Tim, père de l’enfant qu’elle portait lors de son arrestation. Elle le retrouvera, mais tandis qu’elle regarde résolument l’avenir, Tim est incapable de se détacher des fantômes du passéà Le tableau de l’Argentine des années noires est captivant, et Ìngrid Betancourt y introduit une note fantastique qui agit puissamment sur l’imagination du lecteur. Rien d’étonnant à ce que l’auteur renoue, dans ce premier roman, avec les thèmes qui traversaient le grand récit de sa captivité dans la jungle : la privation de liberté, le courage individuel et la servilité collective, l’espoir, la foi en l’avenir de l’humanité.
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Betancourt Ingrid |
2014 |
Roman Adulte |
03 2017 |
124 |
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Livre 0 |
Goût du soleil (Le) (Roman)
Résumé
1934. A l'âge de dix-huit ans, Emilio quitte sa famille et son pays pour travailler de l'autre côté des Pyrénées. Ouvrier agricole aux vignobles des Grandes Terres, son sérieux et son expertise de la vigne donnent toute satisfaction à son patron, Lansac. Mais sa rencontre avec Justine, fille cadette de ce dernier, fait basculer son quotidien laborieux. Il tombe fou amoureux de la jeune fille. Quand le grand reporter Sébastien Rochefort, ami de Lansac, propose à Emilio de l'accompagner en tant qu'interprète pour couvrir le conflit espagnol, ce dernier accepte. Un choix qui l'oblige à quitter Justine et la douceur d'un ciel clément. Un choix auquel il ne peut se dérober : au nom des siens, de ses profondes convictions et de Maria, sa fiancée, qu'il n'a pas oubliée et qui l'attend... Roman sur l'exil, la fraternité, l'engagement, les tourments du cúur, Le Goût du soleil est une grande fresque cévenole à la fois intimiste et universelle.
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Laborie Christian |
2016 |
Roman Adulte |
03 2017 |
149 |
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Livre 1 |
Gang des rêves (Le)
Résumé
Une Italienne de quinze ans débarque avec son fils dans le New York des années vingt... L'histoire commence, vertigineuse, tumultueuse. Elle s'achève quelques heures plus tard sans qu'on ait pu fermer le livre, la magie Di Fulvio. Roman de l'enfance volée, Le Gang des rêves brûle d'une ardeur rédemptrice : chacun s'y bat pour conserver son intégrité et, dans la boue, le sang, la terreur et la pitié, toujours garder l'illusion de la pureté. Dramaturge, le Romain Luca Di Fulvio est l'auteur de dix romans. Deux d'entre eux ont déjà été adaptés au cinéma; ce sera le destin du Gang des rêves, qui se lit comme un film et dont chaque page est une nouvelle séquence.
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Di Fulvio Luca |
2016 |
Roman Adulte |
03 2017 |
114 |
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Livre 1 |
Inhumaines
Résumé
« Le rire contre les armes. Et l’ironie pour se moquer de nous. L’homme est sans doute le seul animal à commettre deux fois les mêmes erreurs. Il est aussi l’unique à fabriquer le pire et à le dépasser sans cesse. À observer le monde comme il va, on hésite alors entre les larmes et le rire. J’ai choisi dans Inhumaines de m’affubler d’un nez rouge, d’exagérer le vrai pour en saisir l’atroce. Ma volonté était de cette façon de tempérer la cruauté née de notre société en la croquant de façon grotesque, ce qui permet de s’en moquer, en espérant contribuer à la corriger aussi, même si je n’ai guère d’illusion sur ce point : restons modeste. En 2000, j’avais déjà écrit un roman, J’abandonne, sur la vulgarité de notre monde et sa bêtise. Cela ne me faisait pas rire à l’époque, et le texte était serré comme un coup de poing. Avec le temps, j’ai préféré l’humour et la satire, comme dans Le Paquet ou dans L’Enquête, pour dire comment nous allions droit dans le mur, un mur plus solide que nos pauvres caboches. Je suis convaincu qu’il est des situations où la littérature doit se transformer en papier de verre pour décaper les cervelles : cela fait un peu mal au début mais cela chatouille aussi. Et après tout, à mon très petit niveau, je ne fais avec ce roman de moeurs que m’inscrire dans un sillon tracé depuis longtemps par des aînés prestigieux, Pétrone, Rabelais, Molière, Voltaire, Villiers de L’Isle-Adam, Jarry, l’Apollinaire des romans érotiques et absurdes, Georges Fourest, les Surréalistes, Ionesco, Roland Topor, Pierre Desproges et bien d’autres qui se sont servis de l’outrance et de la farce pour transcrire nos errements, et amuser leur public en le déshabillant. Bien des peintres et graveurs aussi m’ont inspiré depuis longtemps, qui ont su se pencher sur les monstres : Jérôme Bosch, Brueghel, Jacques Callot, Monsu Desiderio, Füssli, George Grosz, Alfred Kubin, Otto Dix, le Topor dessinateur, Reiser, Jean Rustin, Cardon, sans oublier la joyeuse bande du mythique Hara-Kiri. Et dans le cinéma, comment ne pas citer Dino Risi et ses propres Monstres, mais aussi plus près de nous le devenu culte désormais C’est arrivé près de chez vous de Rémy Belvaux, André Bonzel et Benoît Poelvoorde, Inhumaines est inspiré de faits réels. Toute ressemblance avec des personnes ou des situations existant est totalement volontaire. J’ai simplement forcé un peu le trait. À peine. Et je n’ai d’autre ambition que faire rire, même jaune, à nos propres dépens, à commencer par les miens. Inhumaines est à la vérité ce que le palais des glaces est au réel : exhibant un reflet convexe, parfois concave, rétréci ou agrandi, même s’il déforme, il ne ment jamais. »
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Claudel Philippe |
0 |
Roman Adulte |
03 2017 |
134 |
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Livre 1 |
Croire au merveilleux
Résumé
"Je veux bien avoir été distrait ces temps-ci, mais je sais que si j'avais croisé cette fille-là dans l'ascenseur ou le hall d'entrée, je m'en serais souvenu. Et puisque je me souviens d'elle, c'est que je l'ai vue ailleurs." César a décidé de mourir. Mais une jeune femme sonne à sa porte et contrarie ses plans. Étudiante en architecture, grecque, elle se prétend sa voisine, alors qu'il ne l'a jamais vue. En est-il si sûr ? Pourquoi se montre-t-elle si prévenante envers lui, quadragénaire en deuil de Paz, la femme aimée, persuadé qu'il n'arrivera pas à rendre heureux l'enfant qu'ils ont eu ensemble, et qui lui ressemble tant ? Pourquoi est-elle si intéressée par sa bibliothèque d'auteurs antiques ? D'un Paris meurtri aux rivages solaires de l'Italie en passant par quelques îles proches et lointaines, Croire au merveilleux, en dialogue intime avec Plonger, est l'histoire d'un homme sauvé par son enfance et le pouvoir des mythes. Un homme qui va comprendre qu'il est peut-être temps, enfin, de devenir un père. et de transmettre ce qu'il a de plus cher.
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Ono-dit-Biot Christophe |
0 |
Roman Adulte |
03 2017 |
114 |
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Livre 1 |
Douleur (Roman)
Résumé
Dix ans après avoir été blessée dans un attentat, Iris semble avoir surmonté le traumatisme. Malgré des douleurs persistantes, des problèmes avec ses enfants et un mariage de plus en plus fragile, la directrice d’école ambitieuse et la mère de famille engagée qu’elle est s’efforce de prouver qu’elle contrôle la situation. Tout bascule cependant le jour où elle reconnaît, sous les traits d’un médecin qu'elle consulte, Ethan, son premier amour, qui l’avait brutalement quittée lorsqu’elle avait dix-sept ans. Dans un vertige sensuel et existentiel, Iris éprouve alors la tentation de faire revivre cette passion qu’elle croyait éteinte : et si une seconde chance se présentait à elle ? Ce roman aussi puissant que subtil dévoile les séquelles que le passé peut laisser sur les corps et les esprits, tout en interrogeant notre capacité à faire des choix, au moment même où la vie nous renvoie à l’essentiel.
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Shalev Zeruya |
2017 |
Roman Adulte |
03 2017 |
128 |
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Livre 1 |
J'ai toujours cette musique dans la tête
Résumé
Yanis et Véra ont la petite quarantaine et tout pour être heureux. Ils s'aiment comme au premier jour et sont les parents de trois magnifiques enfants. Seulement voilà, Yanis, talentueux autodidacte dans le bâtiment, vit de plus en plus mal sa collaboration avec Luc, le frère architecte de Véra, qui est aussi pragmatique et prudent que lui est créatif et entreprenant. La rupture est consommée lorsque Luc refuse LE chantier que Yanis attendait. Poussé par sa femme et financé par Tristan, un client providentiel qui ne jure que par lui, Yanis se lance à son compte, enfin. Mais la vie qui semblait devenir un rêve éveillé va soudain prendre une tournure plus sombre. Yanis saura-t-il échapper à une spirale infernale sans emporter Véra ? Son couple résistera-t-il aux ambitions de leur entourage ?
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Martin-Lugand Agnès |
2017 |
Roman Adulte |
03 2017 |
129 |
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Livre 1 |
Elle voulait juste marcher tout droit (Roman)
Résumé
1946. La guerre est finie depuis quelques mois lorsqu'Alice, huit ans, rencontre pour la première fois sa mère. Après des années à vivre cachée dans une ferme auprès de sa nourrice, la petite fille doit tout quitter pour suivre cette femme dont elle ne sait rien et qui lui fait peur, avec son drôle de tatouage sur le bras.C'est le début d'un long voyage : de Paris à New York, Alice va découvrir le secret de son passé, et quitter à jamais l'enfance. Comment trouver son chemin dans un monde dévasté par la guerre ? Avec une sensibilité infinie, Sarah Barukh exprime les sentiments et les émotions d'une enfant prise dans la tourmente de l'Histoire. Un premier roman magistral.
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Barukh Sarah |
2017 |
Roman Adulte |
05 2017 |
102 |
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Livre 1 |
Vertige des falaises (Le)
Résumé
Sur une île sauvage et désertée, Marnie, adolescente effrontée et fragile, vit au-dessus des falaises au cúur d'une imposante maison de verre et d'acier avec sa mère Rose et sa grand-mère Olivia, qui règne sur la famille et sur l'île tout entière. Des plaines aux herbes hautes, des sentiers au bord de mer, la nature se révèle aussi cruelle que les mystères trop longtemps ensevelis. Et si une seule personne détenait tous les secrets de cette famille et s'en libérait enfin ? Après son best-seller Autobiographie d'une Courgette, adapté au cinéma par Claude Barras (Ma vie de Courgette), récompensé par deux César et sélectionné aux Oscars, Gilles Paris signe ici un émouvant roman choral qui se lit comme un thriller et se dévore comme une grande saga romanesque.
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Paris Gilles |
2017 |
Roman Adulte |
05 2017 |
91 |
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Livre 1 |
Tour du monde du roi Zibeline (Le) |
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Ruffin Jean-christophe |
2017 |
Roman Adulte |
05 2017 |
102 |
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Livre 1 |
Cartes postales de Grèce |
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Hislop Victoria |
2017 |
Roman Adulte |
05 2017 |
128 |
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Livre 1 |
Tresse (La)
Résumé
Trois femmes, trois vies, trois continents. Une même soif de liberté. Inde. Smita est une Intouchable. Elle rêve de voir sa fille échapper à sa condition misérable et entrer à l'école. Sicile. Giulia travaille dans l'atelier de son père. Lorsqu'il est victime d'un accident, elle découvre que l'entreprise familiale est ruinée. Canada. Sarah, avocate réputée, va être promue à la tête de son cabinet quand elle apprend qu'elle est gravement malade. Liées sans le savoir par ce qu'elles ont de plus intime et de plus singulier, Smita, Giulia et Sarah refusent le sort qui leur est destiné et décident de se battre. Vibrantes d'humanité, leurs histoires tissent une tresse d'espoir et de solidarité.
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Colombani Laetitia |
2017 |
Roman Adulte |
06 2017 |
159 |
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Livre 1 |
Garçons de l'été (Les) (Roman)
Résumé
Zachée et Thadée, deux frères, étudiants brillants et surfeurs doués, déploient les charmes de leur jeunesse sous l'été sauvage de la Réunion. Mais l'été et la jeunesse ont une fin, et il arrive qu'elle survienne plus vite et plus tragiquement que prévu.
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Lighieri Rebecca |
2017 |
Roman Adulte |
06 2017 |
105 |
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Livre 1 |
Ma mère, cette inconnue (Récit)
Résumé
« Netka, il y a du slave dans ce nom qui sonne clair. Elle a cinquante pour cent de sang polonais dans ses veines. Il me faudra beaucoup de temps pour identifier la Pologne, chercher la trace du père inconnu, éclaircir les mystères, imaginer l'enfant-valise, la petite fille abandonnée. Elle est, elle était ma mère. »
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Labro Philippe |
2017 |
Roman Adulte |
06 2017 |
107 |
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Livre 1 |
Fendre l'armure
Résumé
On me demande d'écrire quelques mots pour présenter mon nouveau livre aux libraires et aux critiques et, comme à chaque fois, ce sont ces quelques mots qui sont les plus difficiles à trouver. Je pourrais dire que c'est un recueil de nouvelles, que ce sont des histoires, qu'il y en a sept en tout et qu'elles commencent toutes à la première personne du singulier mais je ne le vois pas ainsi. Pour moi, ce ne sont pas des histoires et encore moins des personnages, ce sont des gens. De vrais gens. Pardon, de vraies gens. C'est une faute que j'avais laissée dans mon manuscrit, "la vraie vie des vrais gens", avant que Camille Cazaubon, la fée du Dilettante, ne me corrige : l'adjectif placé immédiatement avant ce nom se met au féminin. Quelles gens ? Certaines gens. De bonnes gens. Cette règle apprise, je suis allée rechercher tous mes "gens" pour vérifier que tous s'accordaient bien et j'ai réalisé que c'était l'un des mots qui comptait le plus grand nombre d'occurrences. Il y a beaucoup de "gens" dans ce nouveau livre qui ne parle que de solitude. Il y a Ludmila, il y a Paul, il y a Jean (!) et les autres n'ont pas de nom. Ils disent simplement "je". Presque tous parlent dans la nuit, pendant la nuit, et à un moment de leur vie où ils ne différencient plus très bien la nuit du jour justement. Ils parlent pour essayer d'y voir clair, ils se dévoilent, ils se confient, ils fendent l'armure. Tous n'y parviennent pas mais de les regarder essayer, déjà, cela m'a émue. C'est prétentieux de parler de ses propres personnages en avouant qu'ils vous ont émue mais je vous le répète : pour moi ce ne sont pas des personnages, ce sont des gens, de réelles gens, de nouvelles gens et c'est eux que je vous confie aujourd'hui. (A.G.)
AJOUTER UNE CITATIONAJOUTER UNE CRITIQUE ÉTIQUETTES AJOUTER DES ÉTIQUETTES récits magique contes de fées roman nouvelles magie solitude banlieue histoires courtes whisky drame deuil histoires de vie alcoolisme routiers fées amour capitalisme littérature française 21ème siècle CRITIQUES, ANALYSES & AVIS (16) Voir plus AJOUTER UNE CRITIQUE Bookycooky Bookycooky19 mai 2017 ????? ????? Deux femmes, cinq hommes, sept histoires, ils parlent à la première personne du singulier ; une rencontre pour la plupart d'entre eux sera le moyen de fendre l'armure, se libérer,respirer, se sauver. "......je suis allée visiter l'appart. Bof. Y avait que des livres. Je plaignais la femme de ménageà", Vendeuse dans un magasin d'articles pour animaux, le temps d'une soirée, où "On mate, on choise, on fait plouf-plouf et on se raconte !", elle rencontre un poète, qu' elle va se la faire, littéraire ! Jeune veuve alcoolique, deux petits enfants, rencontre dans un café l'âme soeur.... dont l'armure sera fendue dans l'espace d'une nuit; bénis soit le whisky ! Les deux premières nouvelles ne m'ont pas vraiment emballée, je me suis dit la Gavalda , elle s'essouffle, mais à la troisième ca y est je la retrouve. La rencontre improbable d'un homme et d'un chien. Une rencontre et un fond d'histoire trés émouvants. Ma joie est courte, arrive une autre rencontre, là je ne sais que dire.Ou j'ai rien compris, ou pour faire une chute surprise, Gavalda frise le pervers. Mais elle ressuscite avec la prochaine "Mes points de vie" , où on la retrouve avec un "Joe Pesci de six ans et demi " qui défend ses pévés ( points de vie ), mignon, mignon, touchant. "Rien ne se dit, tout s'entend. Ou l'invisible butin des amitiés de contrebande.", "Le Fantassin " Ai, ai, là encore je peine à comprendre le sens du récit d'une amitié fantasmée ,celui d'un chef d'entreprise condamné à la solitude qui fend l'armure pour nous confier sa rencontre avec son voisin de palier.....agrementé d'un long discours sur les godasses, leur passion commune. Une tirade qui n'en finit pas, vous pouvez y apprendre toutes les techniques de cirage. La toute dernière nouvelle est géniale. Notre narrateur est un mec de trente-trois ans qui rentre à Paris en " tijivi " ,aprés le mariage d' un pote avec une de ses ex, à Saint-Jean-de-Luz,sa ville natale. Là je retrouve le style de la Gavalda que j'adore ! J'aime beaucoup la prose de Gavalda , mais pour la première fois je l'ai trouvé parfois lourde, l'argot+ l'inventé. Les fonds d'histoire m'ont plue une fois sur deux, donc je ne sais quoi dire, moi qui suis ( ou étais ?) une inconditionnelle d'elle. "Ne nous prenons pas au sérieux, il n'y aura aucun survivant."( Alphonse Allais) "Nous vivons une vie, nous en rêvons une autre, mais celle que nous rêvons est la vraie." + LIRE LA SUITE Commenter J’apprécie 7614 jujuramp jujuramp29 mai 2017 ????? ????? Anna Gavalda. Pour moi, il y a de la formule magique dans ce nom là. Une magicienne des mots, une diseuse de belles aventures. Elle fait partie de ma constellation personnelle, de mon petit panthéon des jolies choses qui font du bien : les graines de tournesol grillées, le rire de ma filleule de 2 ans et demi, la main de mon amoureux dans mes cheveux et à
à Anna Gavalda. Son dernier ouvrage ne trahit pas ce qu'elle est.
Sept (trop) petites nouvelles. Des nouvelles du monde.
Bonne, hein, les nouvelles même si mon petit coeur d'artichaut tout chaud a trembloté, a toussoté, tout ému face à ces moments d'une vie ; rares, précieux, de ceux où on fendille l'armure. Si vous ne l'aimiez pas, vous ne changerez pas d'avis avec cet ouvrage. Elle fait ce qui fait que je l'aime, elle devient les autres pour mieux parler de nous tous. Puis elle disparaît. Et reviendra dans quelques années j'espère nous offrir encore un peu sa magie. Anna Gavalda.
Lorsqu'elle dédicace un livre. Elle vient avec ses crayons de couleur et elle te dessine un petit oiseau en bas de page et elle te remercie pour ton sourire. Elle n'est pas comme les autres. Non, c'est à Anna Gavalda. Merci. + LIRE LA SUITE Commenter J’apprécie 439 mumuboc mumuboc03 juin 2017 ????? ????? Coup de coeur Peut être que je ne suis pas totalement impartiale car ce livre m'a été offert par quelqu'un de cher, peut être aussi parce que Anna Galvada tient une place particulière dans mon univers littéraire, parce que j'aime ses observations sur les gens qui nous entourent. On a tous rencontré ses personnages.... Mais elle, elle sait les voir, les entendre, les mettre en avant et nous les livrer sur un plateau. Je l'avais un peu perdue de vue depuis plusieurs années parce que j'avais le sentiment de lire et relire toujours les mêmes histoires. Là j'ai l'occasion de voir si mon ressentiment n'a pas changé. Et bien oui..... Elle écrit toujours le même style c'est à dire des personnages à qui il arrive des petits ou des grands événements, dont la vie bascule ou les fait renaître. Oui elle joue sur les émotions, les bons sentiments, sur "l'ensemble c'est tout" mais c'est fait avec tant de délicatesse, de belle écriture, de réflexion sur la vie, sur les hommes que l'on accepte enfin que j'accepte et que cela fait du bien même si par moment les larmes sont au bord de yeux , que l'on a la gorge nouée et que l'on peut aussi rire, sourire et être émue. 7 nouvelles, 7 personnages principaux car autour d'eux gravitent toujours d'autres éléments tout aussi importants. La mère de famille sombrant dans l'alcool solitaire suite à la mort de son mari, la jeune des banlieues qui rencontre un poète, le routier terrassé par la mort de son chien, l'expert qui devra comprendre la lourde faute de son fils de 6 ans, l'homme qui accompagne une jeune fille au Mc Do.... et va transformer le Happy Meal en un moment gastronomique, le voisin de palier qui va devenir un ami indispensable et enfin un jeune homme rentrant d'un mariage un peu trop arrosé qui va faire une drôle de rencontre..... L'écriture est toujours aussi vive, incisive, précise, moi les personnages je les ai vus, j'ai même imaginé leurs décors... J'ai une tendresse particulière pour ce routier qui a perdu son compagnon de route, pour cette maquisarde pour qui la beauté n'est qu'une apparence, et pour cet expert qui retombe sur terre quand son fils se trouve dans une situation délicate. C'est un livre à lire et à relire quand le moral est dans les baskets, quand on a l'impression que le monde est laid, quand on ne croit plus en l'espèce humaine car il fait du bien. Lien : HTTP://MUMUDANSLEBOCAGE.CANA.. + LIRE LA SUITE Commenter J’apprécie 183 FleursDuBien FleursDuBien26 juin 2017 ????? ????? Enfin ! J'ai retrouvé MON Anna Gavalda ! Que des pépites (ou presque) dans ce recueil de nouvelles. Pourtant d'habitude, je ne suis pas très portée sur les nouvelles. Je n'aime pas ça tout simplement. Peut être parce que l'on s'attache, et qu'il faut quitter très rapidement les personnages, l'intrigue, le style. Justement, parlons en du style. Anna Gavalda nous offre ici un bel exercice de style, elle excelle dans cet art délicat qu'est le maniement de certains langages, toujours différents selon la nouvelle. Nous sommes donc transportés à chaque fois et à chaque changement de style. J'avais hâte de commencer cette critique tant j'ai aimé ce livre ! Mon armure a été fendue, aucun doute là dessus, même si cette armure est en fer blanc ! Comme je l'ai déjà dit, j'ai retrouvé l'auteure, cette auteure merveilleuse qu'est Anna Gavalda. J'avoue l'avoir attendu cet ouvrage impatiemment, avec la même impatience qu'on attend son amoureux. Mon préféré est sans conteste La consolante, mais j'ai adoré Ensemble c'est tout et Je l'aimais. Ma nouvelle préférée est Mon chien va mourir. C'est effroyablement beau et triste à la fois. C'est là que je l'ai retrouvée... Happy meal est extra aussi, très courte, mais la fin nous donne immédiatement envie de relire le texte, ce que j'ai fait. La nouvelle Mes points de vie est extraordinaire aussi, avec un grand pouvoir comique. Et bien sûr, je n'ai pas tout aimé, il est vrai que le fantassin ne m'a pas émue du tout. Oui, la vie est belle, et c'est tout le message de Gavalda. Alors on peut critiquer avec mépris et parler de "bons sentiments". Et alors ? Ils ne font pas du bien à l'âme les bons sentiments ? Si, bien sûr mais le temps, notre temps n'est pas à la lecture de nouvelles ou de littérature qui font du bien, hélas, d'aucuns préfèrent la violence, voire l'ultra violence dans leur littérature. Chacun ses goûts... Voilà de belles lectures, et surtout de belles retrouvailles. A quand un nouveau roman, que l'on puisse retourner dans son univers, celui de celle qui sait si bien tremper sa plume dans notre âme ? ... + LIRE LA SUITE Commenter J’apprécie 31 mariecloclo mariecloclo30 mai 2017 ????? ????? Lorsque j'ai appris qu'il y avait un nouvel Anna Gavalda, j'ai un peu hésité ayant été très déçue par son récit précédent. Alors j'ai attendu un peu puis ayant entendu de bonnes critiques, j'ai acheté ce recueil de nouvelles. Je dois dire que je ne suis pas déçue : ce genre littéraire, court, lui convient très bien. Anna Gavalda réussit à se mettre à la place de n'importe quel personnage : jeune fille travaillant dans une animalerie, avocat coincé habitant le 16 ème arrondissement, femme veuve alcoolique, jeune homme ayant trop fait la fête. Son style est très oral, on a parfois envie de se lire les dialogues à voix haute. Les nouvelles nous montrent des personnages un peu cabossés par la vie et qui vont peu à peu se confier à des inconnus et se montrer très vrais. J'ai aimé surtout "la maquisarde", "mon chien va mourir" et "le fantassin". Il y a parfois de très belles réflexions sur la vie. Cela se lit très vite et met du baume au coeur car très humain. Commenter J’apprécie 91
LES CRITIQUES PRESSE (2) LeJournaldeQuebec29 mai 2017 Un nouveau Gavalda qu’on s’est empressé de lire, la femme de lettres française renouant avec le genre qui a lancé sa carrière. LIRE LA CRITIQUE SUR LE SITE : LEJOURNALDEQUEBEC LeFigaro18 mai 2017 La romancière revient au genre littéraire qui la fit connaître - la nouvelle -, avec grâce. LIRE LA CRITIQUE SUR LE SITE : LEFIGARO CITATIONS & EXTRAITS (11) Voir plus AJOUTER UNE CITATION FleursDuBien FleursDuBien24 juin 2017 Je vous le redis, je n'excuse pas mon fils, je ne l'excuse pas, et je souhaite aussi qu'il soit puni, mais je maintiens que loin d'humilier le vôtre, il a, en crevant sa roue, rendu honneur. Comme j'étais pressé de retourner travailler et comme ils m'agaçaient, tous, ces vieux qui ne comprennent jamais rien aux enfants parce qu'ils ont déjà tout oublié de leur enfance Commenter J’apprécie 10 FleursDuBien FleursDuBien23 juin 2017 Je dis mon chien parce qu'il n'a pas de nom sinon bien sûr je dirais autrement. C'était pour moins l'aimer et puis là encore c'est comme avec tout le reste, au bout du compte je me suis fait couillonner quand même. Commenter J’apprécie 10 FleursDuBien FleursDuBien22 juin 2017 Les gens, ils sont tarés avec leurs ordinateurs. Ils y croient à fond alors que c'est juste de la marchandise à vendre dans une vitrine lumineuse. Commenter J’apprécie 10 FleursDuBien FleursDuBien22 juin 2017 Quand les gens vous font rire et même s'il a beau le nier, le cœur est déjà baisé. Commenter J’apprécie 10 babass babass17 juin 2017 û Arrête, j’te dis. C’est même pas la peine d’insister. J’avais pas du tout envie d’y aller. J’étais crevée, je me sentais moche et en plus, j’étais pas épilée. Dans ces cas-là j’assure que dalle et comme je sais que je vais rien choper, je finis toujours défoncée comme un terrain de manœuvres. Je sais, je suis trop délicate mais bon, c’est plus fort que moi, si je suis pas nickel et la chatte au carré, je m’accorde aucune ouverture. + LIRE LA SUITE Commenter J’apprécie 20 VIDEOS DE ANNA GAVALDA (23) Voir plusAJOUTER UNE VIDÉO Vidéo de Anna Gavalda Clash Culture : Faut-il vraiment lire "Fendre l?armure" d?Anna Gavalda ? .Dix-huit ans après "Je voudrais que quelqu?un m?attende quelque part", la romancière à succès de "Je l?aimais" revient à la formule qui l?avait révélée en 1999 : une série de sept nouvelles intimistes, rassemblées dans "Fendre l?armure" (Le Dilettante). Certaines histoires sont très brèves, d?autres nettement plus longues, mais toutes ont en commun de mettre en scène des personnages confrontés à une forme d?ultra-moderne solitude dont ils souffrent Anna Gavalda, qui trône déjà en tête des meilleures ventes avec ce nouveau livre, parvient-elle à nous émouvoir ? Mérite-t-elle vraiment d?être comparée à Maupassant ou Marcel Aymé ? Grégoire Leménager, de "L?Obs", et Jean-Christophe Buisson, du "Figaro-Magazine", ne sont pas d?accord. + LIRE LA SUITE AUTRES LIVRES CLASSÉS : NOUVELLESVoir plus Le Horla par Maupassant Le Horla Guy de Maupassant 190 critiques 223 citations Histoires extraordinaires par Poe Histoires extraordinaires Edgar Allan Poe 100 critiques 91 citations Boule de Suif et autres nouvelles par Maupassant Boule de Suif et autres nouvelles Guy de Maupassant 101 critiques 119 citations Trois contes : Un coeur simple - La légende de Saint Julien l'Hospitalier - Hérodias par Flaubert Trois contes : Un coeur simple - La légende de Saint Julien l'Hospitalier - Hérodias Gustave Flaubert 84 critiques 66 citations Nouvelles histoires extraordinaires par Poe Nouvelles histoires extraordinaires Edgar Allan Poe 28 critiques 57 citations ACHETER CE LIVRE SUR
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Gavalda Anna |
2017 |
Roman Adulte |
06 2017 |
369 |
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Livre 1 |
Conclave
Résumé
Le pape est mort. Le siège est vacant. Le poste à pourvoir. Derrière les portes closes de la Chapelle Sixtine, cent dix-huit cardinaux de tous les pays du globe vont voter. Au cours des soixante-douze prochaines heures, l’un d’eux deviendra le guide spirituel le plus influent sur Terre. Mais, les hommes d’Église sont avant tout des hommes : ils ont de l’ambition et de l’orgueil, et sont prêts à tout pour accéder au plus haut poste de la hiérarchie ecclésiastique. Un suspense haletant qui nous ouvre les portes de l’élection la plus secrète au monde.
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Harris Robert |
2017 |
Roman Adulte |
06 2017 |
107 |
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Livre 1 |
Jour où les lions mangeront de la salade verte (le)
Résumé
Romane a toujours le trac avant une conférence. Ce jour-là, au moment où elle s'apprête à prendre la parole le micro part dans un terrible larsen. Un homme au premier rang s'esclaffe : " Ah ! Les femmes et la technologie... " Romane rend silencieusement grâce à cet homme, qui lui permet de confirmer l'importance et l'ampleur de sa mission : réduire le taux de burnerie. Les symptômes de ce mal aussi bien féminin que masculin sont connus : sentiment de supériorité, égocentrisme, penchant naturel pour les jeux de pouvoir ou les rapports de force, inflation de l'égo, mauvaise foi, etc. C'est parce que les burnés sont légion que Romane a décidé de créer sa société Sup' de burnes, et d'aider ses stagiaires dans leur parcours de déburnerie. Ses méthodes originales et surprenantes ont le vent en poupe. Lors d'une nouvelle session Romane accueille Emilie, Nathalie, Patrick, Bruno, et le charismatique Maximilien Vogue, célèbre PDG d'un des plus grands groupes cosmétiques au monde. Charismatique... et terriblement burné ! Romane aura du pain sur la planche, tant pour l'accompagner à changer que pour lui résister...
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Giordano Raphaëlle |
2017 |
Roman Adulte |
06 2017 |
128 |
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Livre 1 |
Enfants de Venise (les) |
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Di Fulvio Luca |
0 |
Roman Adulte |
09 2017 |
130 |
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Livre 1 |
Long island |
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Bollen Christopher |
2017 |
Roman Adulte |
09 2017 |
93 |
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Livre 1 |
Dame à la licorne (la) |
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Chevalier Tracy |
2003 |
Roman Adulte |
09 2017 |
144 |